hey duste les bons tu portes à dôte c'est pas juste quand tu portes à la dérive c'est aussi quand tu détournes cette femme qu'a l'âge d'être ta gamine c'est quand tu piques tu piques grave alors que tu pédaves tout ce que t'achètes c'est quand tu m'dis que j'suis fidèle à mon homme pendant que tu suces ma **** incohérent comme dire mais après nan j'suis pas racist Quand tu décris ton homme idéal et que tu le parasites Quand tu décris ta femme idéale, et que tu la frapsotises C'est quand t'envie les glances des autres et que tu n'aimes pas ton fils T'es d'une mauvaise foi incroyable quand t'assumes pas les choses C'est comme dire je tisse la mine alors que t'assumes pas les doses C'est comme insulter ma mère alors qu'elle t'avait préparé quelque chose C'est comme assumez la baisée pour se barrer il faut inventer qualque chose Tu le portes très bien, ton masque t'hypocrite La posse du casse du sucre dit rien, en face mettez ce que t'es poli Les femmes c'est fait pour les embrosser, mais bien sûr t'es pas misogyne Les hommes nous dominent faut les écraser mais bien sûr que toi t'élogues D'ailleurs t'es illogique quand tu dis je bigrate les kilotypes A chaque fois qu'on te croise tu dis les souches produits Mais tes sous produits ça dit part où que tu dois des sous Grossisses que t'insultes ton DIEX, après c'a fouquabe A la poliste l'histoire, après l'histoire en tune de chiffre, ils font tripé Comme si t'abusent de la gélato, je me sens crispé les pensées sont peut-être à bout Ils font flipper, je deviens parano comme patrouille Chaque fois que je vais chiffrer, ils viennent me chiner je n'allume pas trop Ils font priper, comme si t'abuses de la gélato, je me sens crisper, les pensées sont peut-être tabou Il font flipper, je deviens parano un peu comme patrouille Chaque fois que je vais chiffrer, ils viennent me chiner je n'allume pas trop Laisse la guitare laisse à sortir dès le début.